Page 2 - Des ailes pour le Brésil
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                                                  LE GOÉLAND.



















                 Depuis toujours, Jonathan Livingston s'afflige de n'être ni albatros ni

               pélican, en bref, de n'être doué ni pour le « looping » ni pour le vol plané.
               La  passion  du  vol  entraîne  le  jeune  Jonathan  à  transgresser  tous  les

               interdits, et surtout les lois du clan.
               Cela va le conduire à mener une existence totalement extraordinaire où les

               périodes sombres alternent avec les matins où « l’or d'un soleil tout neuf

               tremblait sur les rides d'une mer paisible ».  Jonathan Livingston, le Goéland,
               Richard Bach.

                                                                      PRÉFACE.
                  Il n’existe pas de vie banale, surtout quand il s’agit de celle d’un Français

               ayant élu domicile au Brésil.
               Celle de Patrick n’échappe pas à la règle.
               Dans ces quelques pages, au travers d’aventures parfois rocambolesques,
               on découvre un personnage hors du commun.


               Encore  bébé,  il  fuit  sa  patrie  devant  l’épouvantail  de  l’occupation

               hitlérienne.
               Il traverse l’Atlantique, débarque à Rio de Janeiro avec sa famille où il

               séjourne trois ans.

               Et c'est dans un pensionnat du nom de Nido d’aguilla (nid d’aigle) de la
               Cordillère  des  Andes  au  Chili  qu’il  essaye  de  s’alphabétiser  tout  en  se

               débarrassant d’une séquelle de diphtérie et d’une pneumonie.
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